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Quoiqu'en disent les végans
Manger de la viande est nécessaire !
Si on veut faire plaisir à des singes, on leur apporte des vers de farine plutôt que des cacahuètes !
Les chimpanzés chassent des petites gazelles et des colobes !
Mais il y a plus surprenant encore, une tortue géante des Seychelles,
Mangeant un oiseau !
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Commentaires
2Poumi-thoraxDimanche 19 Septembre 2021 à 18:11Moi, les seuls gens qui ne mangent pas d'animaux que kje connais, c'est Aymeric Caron, Adolph Hitler et Hannibal Lecter... Ça fait pas envie...-
Dimanche 19 Septembre 2021 à 18:26
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Poumo-thoraxDimanche 19 Septembre 2021 à 19:33Les hindous sont vegetaliens uniquement s'ils le choisissent, tandis que dans la secte végane, c'est obligatoire. Les végans sont les talibans de l'hindouisme.
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Mardi 21 Septembre 2021 à 15:29
Bonjour.
Pour Trublion.
La cuisine Indienne est excellente (tout dépend et chacun voit selon, mais également concernant l'organisme, notre organisme d'Européen et pas issu des pays orientaux..) et très digeste.
Pour preuve, on soigne les gens avec la nourriture et à partir de repas concoctés à base de produits locaux et naturels.
La méthode dite Ayurvedia.
La partie épices et épicée est un autre domaine, également très particulier et propre à l'Inde, et donc également, en fonction, pour nos organismes d'Européens et pas d'Indiens locaux..tout dépend.
C'est d'ailleurs pareil pour la cuisine traditionnelle Japonaise et que j'aime beaucoup, et là-aussi, même remarque pour nos organismes et notre organisme d'Européen, et donc pas forcément habitué, ni adapté, en fonction..
Très bonne fin de journée..Denis.
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Bonsoir Pierre,
Je ne suis pas végan, je ne suis pas non plus une grande consommatrice de viande, préférant le poisson mais beaucoup le sont autour de moi, je respecte leur choix, mais n'ayant pas l'intention de me prendre la tête, si le menu ne convient pas ils se préparent eux mêmes leurs repas ! ( embouteillage dans la cuisine )
J'espère que je pourrais enregistrer ce com, mais le CAPTCHA me complique la vie ... Je n'ai plus mes yeux de 20 ans !
Très bonne soirée;
Bisous
Prima
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Dimanche 19 Septembre 2021 à 19:05
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Lundi 20 Septembre 2021 à 18:54
Bonsoir.
Pour Trublion..
Normal, pour ce que tu dis et mets, je suis pareil, n'en déplaise !..
Très bonne soirée..Denis.
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Que les végétariens et vegans assument leur choix sans venir ennuyer ceux qui ne font pas comme eux ! Depuis la préhistoire l'homme est carnivore , il faut de la viande pour un bon équilibre alimentaire ! J'avais eu l'occasion de voir des tortues carnivores ; tu n'avais pas intérêt à laisser traîner un doigt et je trouve qu'elles ont un regard de tueuse ! Ceux qui me surprennent ce sont les chimpanzés mangeant la gazelle !
Passe une bonne soirée Bisous
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Lundi 20 Septembre 2021 à 07:33
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bonjour
pas végan non plus , ni autour de moi , mais certaine viande je ne mange pas ,
mais je n 'aime pas les donneurs de leçons végan , la viande nous est nécessaire c'est reconnu
bonne soirée PIERRE
kénavo
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Lundi 20 Septembre 2021 à 07:34
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7palombia86Dimanche 19 Septembre 2021 à 20:06Ma foi un chien mange bien de l'herbe.
Végan, y'a pas plus abrutis dans l'espèce humaine, véganisme un luxe de petite bourgeoise décérébrée occidentale, j'imagine que pour rester fidèle a ses convictions, elle a éliminé aussi les préliminaires et se reproduit qu'avec des préservatifs, ben quoi ! C'est de la viande, c'est déjà plus rassurant, pas de petits a naître.
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Lundi 20 Septembre 2021 à 07:37
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Poumo-thoraxLundi 20 Septembre 2021 à 11:55Les légumes pour végans poussent avec des engrais à base de farines animales et les produits élaborés pour les végans sont bourrés d'additifs. Les végans sont tout sauf écolos.
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8FrippouilleDimanche 19 Septembre 2021 à 21:13En Inde seule laa tribu Siks (pas sure de l'orthograaphe) mange de la viande, et ils sont des guerriers, parce que plus forts. Les gardes du corps d'Indira Gandhi étaient de cette secte.
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Lundi 20 Septembre 2021 à 07:37
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je ne suisi pas vegan , je mange de la viande, en petite quantité , il y a beaucoup trop de betail sur la terre, et un peu trop d'abus dans ce sens, j'ai vu hier le championnat de barbecue aux US, c'est fou, ce qu'ils peuvent ingurgiter, il y avait meme un barbecue de la taille d'un semi remorque, et après ils se plaignent d'etre trop gros ! alors qu'il y a des milliers d'enfants qui meurent chaque jour de faim ! en ce qui concerne les animaux, singes, tortues, quand on a faim, ça peut se comprendre ! bonne semaine amiies
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marie25Lundi 20 Septembre 2021 à 12:09
Bonjour,
j'ai vu ce reportage que de gros steaks.! Enormes mais pas de cholestérol chez eux ? pas de maladies cardiovasculaires ?
je n'y comprends rien.
@micalement
J'appelle cela des viandards je n'en connais pas. ils avaient l'air heureux tous..
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marie25Lundi 20 Septembre 2021 à 12:17
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Lundi 20 Septembre 2021 à 17:53
L' abus est toujours une mauvaise chose, et aussi les richesses sont mal réparties, et je ne pense pas que ce soit près de s'améliorer, puisque la différence entre riches et pauvres s' accentue !
Les animaux eux suivent leur instinct.
Pas vu le reportage, mais je connais des viandards chez les chasseurs et même chez des pêcheurs
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10marie25Lundi 20 Septembre 2021 à 12:04Coucou,
Oui grand dilemme pour qlq uns.
j'en mange peu mais c'est un choix et je ne persécute personne. C'est fou à l'heure actuelle on veut Tout nous imposer. Pour les photos vues, je le savais..... Oui Minette se purge pour l'herbe, je la prends dans un grand magasin . Agréable semaine.
Grosses bises
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Lundi 20 Septembre 2021 à 17:56
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Bonjour Pierre. Ma mère était une super cuisinière. Elle faisait la cuisine express pour moi tout seule. Des poissons qui se mordaient la queue, fris, et des fritures ... délicieuses.
MAIS, comme j’ai été en pension 6 ans et que l’on nous donnait de poison presque pourri, et pas de viande, j'avais de l’aversion pour le poison à la fin, et même le saumon, sauf les crustacés, pas les huitres !
J’aime donc plus la viande. Les côtelettes d’agneau et la bavette. Et Titi aime la viande, mais il varie entre le poulet le bœuf dans des coffrets Sheba avec des légumes... et un peu du thon. Mais comme nous habitons maintenant dans un grand studio sans séparation des plaques du coin cuisine, je ne fais pas la cuisine à cause des coussinets de Titi
Pour les vidéos ... j’ai regardé un peu, mais surtout celle des chimpanzés j’ai dû arrêter, car je ne savais pas qu’il se tuait. Trop violent pour moi depuis que j'ai un animal.
Je trouve que faire des steaks hachés avec des plantes... beuk ! Bisous et bonne journée
Si vous avez des chats, ce sont des terrines avec des légumes très saines
Titi mon meilleur copain, un garçon super beau
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Lundi 20 Septembre 2021 à 18:00
ces imitations de steak à partir de légumes est une aberration, et je n'y goûterais pas !
Les animaux mangent de la viande ce serait une aberration que l' homme n'y ait pas droit !
J'aime bien varier, un jour des oeufs, un jour des sardines, un autre de la viande !
Les chats aiment aussi le foie !
Dans toutes les spa, ils ont du cervelas, pour gâter chats et chiens
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Lundi 20 Septembre 2021 à 19:02
Re..
Les risques liés au régime "végétarien" ou "vegan"..
https://www.sante-corps-esprit.com/jamais-vegan/
Pourquoi le régime végan (végétalien) est risqué..
Les aberrations..
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tabou_alimentaire
Tabou alimentaire.
Il faut manger de tout !
https://www.mangerdetout.fr/role-proteines/
A quoi servent les protéines ?
Tout n'est qu'une question de bon sens..sans plus !..
https://www.sante-sur-le-net.com/seniors-repartition-proteines-journee/
Seniors : mieux répartir les protéines au cours de la journée..
(Il n'y a pas besoin d'écouter les chants de sirènes ou autre..loin delà !..)
Très bonne soirée encore..Denis.
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Salut,
L'homme n'est qu'un animal avec un cerveau mais on se demande s'ils s'en servent.
Il a plu mais cette nuit.
La température a baissé mais on peut encore sortir pour faire une balade.
Bonn semaine
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Lundi 20 Septembre 2021 à 18:01
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Bonjour trublion, voila encore autre chose ! J'ai comme l'impression que l'humanité avance tel un crabe et que chaque avancée est en fait une légère reculade, craintif que nous sommes devant le progrès, la science ou tout simplement ce qui nous dépasse tel cette tortue dévirant un oiseau . est ce signe d'une ère nouvelles de décadence ? PS : j'ai ajouté le clip de "Je vous parle d'elle" sur le blog !
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Lundi 20 Septembre 2021 à 18:04
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14AMANDINE BOUBOULundi 20 Septembre 2021 à 16:1115LIANOULundi 20 Septembre 2021 à 16:22bonsoir Pierre .
je mange de tout en quantité très raisonnable dernièrement de la viande rouge mais pas que aussi des légumes car je n'avais pas assez de fer mais je préfère maintenant le poisson à la viande .....je n'aurais pas penser qu"une tortue puisse manger un oiseau !!!!....pluie cette nuit et voilà que ça retombe très fin c'est bon la terre en avait besoin je vais doucement des hauts et des bas logique il faut laisser le temps au temps mais la solitude est difficile .....amitiés
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Lundi 20 Septembre 2021 à 18:07
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Re-bonjour Pierre,
Je ne savais pas pour les singes. Ils ne mangent donc pas que des bananes...
Pour les tortues, nous en avons vu d'énormes à Maurice, elles avaient un bec capables de trancher un doigt!
Bonne journée et gros bisous,
Mo
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Lundi 20 Septembre 2021 à 18:09
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BONSOIR PIERRE !......Il n’y a guère que les Gorilles qui sont végétariens ! Tous les primates mangent de la viande et beaucoup ont été et sont encore anthropophages ! Les derniers Êtres Humains étaient les rescapés du crash de l’avion des Andes !..........Salut Mon Ami Pierre !-
Lundi 20 Septembre 2021 à 18:15
quand on pense que 98 % de l' adn du gorille est identique au nôtre !
C' est vrai qu'il est herbivore, bien qu'on l' ait vu manger des insectes !
Panda roux et géant sont spécialisés dans le bambou !
Je me disais que les inuits n'avaient d' autre choix que de manger de la viande, difficile de faire pousser des légumes sur de la glace
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Bonsoir Trublion.
Je ne suis ni..végétarien, ni..Végan ou "végétalien..non plus.
Je suis pour la viande et les protéines, tout en sachant qu'il y a des protéines contenus dans le poisson, pareil pour un oeuf dur, pas besoin d'avoir fait des études de médecine pour ça, ou encore suivi une école de nutrition ou de diététique..je ris !
Chacun est ce qu'il veut, et fait ce qu'il veut, ça m'est égal, tant que l'on ne vient pas me "barber" avec tout cela, comme je n'oblige personne moi-même, dans un domaine ou un autre, cela va de soi..
Je suis comme "La Renarde des Alpes" (blog "Grimoires&carnets"..) et que j'ai trouvé par hasard, il y a longtemps et dès le début de son blog, et avec des échanges en commentaires fort sympathiques pour le domaine dans lequel elle excelle, à savoir..La Nature !
Donc, au départ, elle avait dit:
"Je ne suis pas végétarienne.."
(Entre temps et depuis, elle a quelque peu changé et changé son fusil d'épaule, dans ce sens, mais je ne lui en tiens pas grief..)
Petit encart : je sais, j'ai déjà posté ce billet. Oui mais voilà, j'ai prit le temps de le relire, de l'approfondir et j'ai changé deux-trois points qui s'accordent aujourd'hui avec ma vision des choses.
Ce qui est vrai et ce que l'on peut en dire..
"Le mal ne réside pas dans le quoi (l’acte de manger des animaux), mais dans le comment (la manière de les élever et de les consommer). Ceux qui associent "omnivorisme" et élevage intensif opèrent un terrible amalgame."
À l'affirmation "nous ne sommes pas fait biologiquement pour manger de la viande" je réponds faux !
Nous pouvons nous passer de viande: Vrai et faux.
Voir la rubrique dans l'article mis à ce sujet:
Où trouve-t-on les nutriments nécessaires?
Les protéines qui contiennent les acides aminés sont ce qui permet à nos cellules de fonctionner. On les trouve dans la viande, le poisson, les produits laitiers, les œufs et en plus petite quantité dans le soja et le mélange de légumineuses et de céréales. Il néanmoins courant d'entendre dire qu'il y a plus de protéines dans les végétaux et qu'elles sont plus facilement assimilables, ce qui est faux. Le végétale le plus riche en protéine est le soja a raison de 16,5 gr de protéines pour 100 gr contre 30 à 70 gr de protéines pour 100 gr de viande.
À mon sens, le fait que certains aliments essentiels à notre organisme soient uniquement présents dans des animaux me conforte dans l'idée que biologiquement, nous ne sommes pas faits de sorte à nous nourrir uniquement de végétaux. Après ces constations, j'ajoute volontiers le foie à ma liste de courses quotidienne, c'est bel et bien un aliment précieux. Cependant, les progrès de l'industrie alimentaire et pharmaceutiques nous permet désormais de nous en passer.
"Je pense aussi que les Végétariens se font du mal, sans forcément qu’il le ressentent. D’ailleurs, cela vaut aussi pour les adeptes des morceaux de viandes (moi compris). La vérité sur ce sujet est que notre espèce est Omnivore, notre corps a besoin de végétaux ET de viandes (même si les végétaux font plus de bien que la viande). En tout cas ce qui ai sur, c’est qu’aujourd’hui nous mangeons trop de viande, et peut être pas assez de fruits et de légumes, comme nos ancêtres le faisait. Personnellement, je prévois prochainement de remettre en ordre ma santé alimentaire, mais ne manger que des légumes n’est pas une solution." Malika Loreï.
Les personnes végétariennes, végétaliennes et végans vivent plus longtemps et sont beaucoup moins malades: Vrai et faux.
Il est courant de dire que les végétaliens vivent plus longtemps que ceux qui ont une alimentation carnée, ce qui est vrai mais la non consommation de viande est elle la véritable raison ? Non, du moins pour moi.
Les personnes "végétariennes" comme surtout "vegan" s'exposent à de réelles carences pour l'organisme !!!..
(Là, c'est moi qui le dit, et je ne m'appuie pas sur du vent !..)
Ce qui est certain, qu'on le veuille ou non:
La qualité de la dentition en fonction du régime alimentaire.
Récemment, il a été mit en lumière que les végéta*iens et végans connaissaient beaucoup plus de problèmes de dentitions que ceux qui ne l'étaient pas : déchaussements de dents, caries, ulcères des régions buccales ... ce fait n'a été mit en lumière il y a peu et la recherche sur ce sujet continue. Un des facteurs pourrait être que ce sont des populations pauvres qui pratiquent le végétarisme (et cie) et qui n'ont pas accès aux soins dentaires. Un autre serait que certains éléments essentielles à la bonne santé dentaire ne se trouveraient que dans l'alimentation animale.
Je vous invite à lire la totalité de son article mis là-dessus !
Pour terminer, cette citation qui reflète toute ma pensée:
" L’antispecisme, comme le veganisme, est une culture urbaine. Ce n’est pas un hasard si l’un comme l’autre sont venus des Etats-Unis et d’Angleterre, sous la double influence d’un zest de puritanisme protestant et de l’urbanisation precoce dont ces deux pays ont été les champions. La majorité des populations occidentales, depuis plusieurs generations, n’entretiennent plus avec la campagne qu’un rapport mythique, touristique et nostalgique et ont perdu tout contact réel avec l’origine de leur nourriture (carnée comme végétale). Ils ne savent ni comment ça pousse, ni comment ça vit, ni la forme que ça a, ni comment ça se tue. Alors que la vie rurale et paysanne melait intimement les humains et une partie du monde animal , le développement urbain a façonné des comportements apparemment opposés, mais qui se cotoient de maniere schizophrenique, vis-à-vis de l’animal. D’un coté, la production d’un bestiaire désincarné et idéalisé : l’univers Disney, les ours en peluche, les animaux de compagnie, toutes les formes anthropomorphiques de la cité idéale harmonieuse ; de l’autre, des zombis pour qui la viande c’est le hamburger et la croquette de poisson, sans rapport avec l’animal qui n’est plus que « de compagnie » et ne se mange pas. En fait, ces comportements sont le même produit de l’éloignement progressif du monde animal "(Personne n'est parfait..moi non plus, mais, je ne suis pas un "mouton" qui suit des paroles à la légère, à plus forte raison émanant de cette catégorie de gens.."végétariens" ou "vegan", très "rigoristes et sûrs d'eux..ben voyons !..)
samedi 24 octobre 2015Je ne suis pas végétarienne.
e ne suis pas végétarienne, néanmoins dans ma démarche, je m'en approche. Je consomme peu de viande et je reste persuadée qu'il est tout à fait possible de vivre en parfaite santé sans se nourrir d'aucun produit animal. Cependant, je reste quelque peu atterrée par les contres-sens et les fausses idées qui circulent sur la consommation de viande.
Petit encart : je sais, j'ai déjà posté ce billet. Oui mais voilà, j'ai prit le temps de le relire, de l'approfondir et j'ai changé deux-trois points qui s'accordent aujourd'hui avec ma vision des choses.
Avant tout propos, je tiens à dire que dans cet article je ne mène pas une guerre contre les pratiques véganes, végétariennes et végétaliennes ou contre tout autre régime alimentaire semblable. Je ne veux pas convaincre qui que ce soit qu'il faut absolument manger de la viande et encore moins établir cette idée comme une vérité absolue.
Ce que je veux mettre en lumière ici, c'est ma réflexion personnelle sur cette question qui me passionne et me taraude souvent l'esprit. Donc pour se faire, je citerais quelques éléments qui m'ont permis de me faire un avis. Peut être que celui-ci évoluera un jour ... oui peut être. En tout cas si cela peu paraître confu c'est bien normal, et mieux, ça l'est. J'ai posé ici mon ressenti comme il venait et c'est pour cela que certaines idées ne sont pas développées ou peu. J'y reviendrai à un moment ou un autre, quand j'aurais poussé ma réflexion un peu plus loin.
Cet article n'est pas ouvert aux commentaires car il n'a pas pour but d'ouvrir un débat ou même de créer de l'échange (ce qui je le reconnais est assez maladroit), non, ma seule volonté est d'exposer ma conception de la chose avec le peu de connaissances que j' en ai en m'aidant d'articles scientifiques, ethnologiques et géographiques issus de tous bords. Bien entendu vous trouverez toutes mes sources, tous les documents, forums, sites, blogs etc... qui m'ont aidé à construire mon article à la fin de celui-ci.Enfin, je sais comme il est sensible de parler de ce sujet car chez bien des personnes, qui mangent ou non de la viande, l'alimentation (souvent inconsciemment) figure parmi les repères identitaires les plus forts. Les remettre en question ou les présenter sous un jour nouveau peu donc être perçu parfois comme une négation de ce qu'elles sont, d'où les attaques qui peuvent être virulentes. Ici il n'en est rien, et je le rappelle, mon approche est personnelle, ce qui ne m'empêche pas de faire appel du mieux que je le peux aux sciences naturelles et humaines mais aussi, à ma conception de la nature et ma propre philosophie de vie. Dans tout les cas je garde à l'esprit dans mon exposé que s'alimenter reste avant tout un fait culturel et social.
"Le mal ne réside pas dans le quoi (l’acte de manger des animaux), mais dans le comment (la manière de les élever et de les consommer). Ceux qui associent "omnivorisme" et élevage intensif opèrent un terrible amalgame."
À l'affirmation "nous ne sommes pas fait biologiquement pour manger de la viande" je réponds faux !
C'est le bon vieux mythe du végéta*isme originel, qu'il soit religieux ou non. Dans la bible, avant que l'homme et la femme soient poussés à la faute, tous les animaux consommaient des végétaux, le lion comme la vache, l'humain comme la brebis. Dans ce retour à une alimentation composée plus ou moins exclusivement de végétaux, on peut voir de nombreux fantasmes ou désirs, comme celui du retour à l'innocence, la volonté de se purger de certaines fautes propre à soi ou à sa communauté, bref l'idée que nous ne sommes pas foncièrement mauvais et donc complètement responsable du foutoir dans le quel nous nous trouvons vu que nous avons, dans la tradition religieuse, été faits bons et herbivores, la viande ayant pour symbolique la perversion. Pour attester de cette conception, consciente ou non, certains faits scientifiques sont mis en avant."Nos lointains ancêtres (quelques millions d'années) étaient chasseurs et cueilleurs et on peut dire que cela ne nous a pas trop mal réussi. La particularité du système digestif des ruminants n'est pas la longueur des intestins mais la régurgitation du bol alimentaire et la fermentation qui en découle." C'est quelques mots sont là pour rappeler que notre système digestif n'est pas celui d'un carnivore car trop long (l’intestin mesure 10 à 12 fois la taille du corps chez l'Homme contre 4 à 5 fois chez les animaux complètements carnivores) mais n'est pas non plus celui d'un herbivore car trop court, en somme nous nous trouvons entre les deux c'est à dire omnivore et que par cela, nous sommes conçus pour manger des végétaux mais aussi de la carne comme nos proches parents les singes avec qui nous partageons notre patrimoine génétique à 98% et des poussières. En effet, gorilles et autres chimpanzés chassent de temps à autre des oiseaux, des reptiles mais surtout d'autres singes pour couvrir tous leurs besoins nutritionnels.
Bien que la dentition humaine, à savoir de petites canines non tranchants sur une mâchoire de force moyen et semblable à celles des primates frugivores (ce qui a poussé Charles Darwin, Georges Cuvier ou Charles Giraud à concevoir le frugivorisme comme régime alimentaire adapté à l'Homme bien que ces bons gars ne surent pas que les grands singes étaient partiellement omnivores), l'estomac lui n'est pas spécifique à la nutrition entièrement végétale ni complètement carné. Nous ne possédons pour ainsi dire ni doubles estomacs, ni penses et notre vésicule biliaire s'épuise voire s’abîme à la digestion des huiles végétales.
Enfin, depuis 2007 il est reconnu que l'appendice iléo-cæcal, que l'on nomme aussi appendice vermiculaire et qui cause la crise d'appendicite quand il se bouche, produit des bactéries spécifiques à la digestion de la viande et que si celui-ci a diminué pour devenir quasi-inexistant, il nous a été fort utile pendant bien longtemps. Cela est dû à l'apprivoisement du feu qui a révolutionné notre façon de nous alimenter et donc, qui nous a façonné biologiquement. Rajoutons que si Cro-magnon, Neandertal et Cie prenaient le risque de courir après le mammouth, ce n'était pas uniquement de l'ordre du culturelle (montrer sa force par exemple) ni de l'utile (construction d'abris avec les os et défenses), les arbres et les ours des cavernes étant là pour remplir le plus souvent ces fonctions.
Il me tient à cœur de citer quels mots de Stéfane Guilbaud qui à travers son article (que vous trouverez dans les sources) met en lumière à mon sens certains faits véridiques:
"La viande désincarnée dans les sociétés occidentales.
Nous venons tous d’ancêtres ayant été cueilleurs-chasseurs et nous avons encore sur terre au XXIe siècle, grand nombre de peuples dépendants de la protéine animale. Ces peuplades se consacrent à la chasse pour subvenir à leurs besoins. Naturel pour eux alors de chasser et tuer les animaux tout en priant pour remercier un dieu de la forêt ou une divinité concernée. Une fois faits, ils ramènent la pitance pour nourrir leurs familles. À quel moment ces individus ont-ils fauté ? À quel moment pourraient-ils recevoir un quelconque reproche ? C’est bien la question que l’on peut se poser.Lors d’une conférence, quelqu’un m’a répondu "C’est normal, ils ne sont pas occidentalisés". Drôle de réponse à plusieurs titres. La différence fondamentale entre eux et nous reste la manière et la motivation. Ces peuples tuent directement pour se nourrir et n’ont rien à cacher. À contrario, nous ne tuons pas toujours par nécessité, mais pour des besoins plus ou moins louables. En effet, dans quelle catégorie ranger les animaux tués pour le petit apéro saucisson-chips du collègue ou bien encore pour les menus junk foods toujours plus grands, toujours plus gros ? Une autre différence de taille est la relation visuelle que nous avons avec l’animal. Nous ne le voyons plus, il est désincarné par des industries de la mort qui nous les propose en barquette, sans os, sans forme, sans lien avec le pâturage. Nous ne voyons plus rien et comme dirait Fabrice Nicolino, il est plus facile de rentrer dans une centrale nucléaire que dans un abattoir. Demandons-nous pourquoi ?"
Nous pouvons nous passer de viande: Vrai et faux.
En fonction du régime alimentaire choisi, de la condition physique et des maladies de notre organisme, il est aujourd'hui possible grâce au modernisme de se passer de viande. Un régime végétarien sera reconnu comme viable et bon pour l'organisme s'il n'est pas prédisposé à certaines carences ou maladies, les régimes végétaliens et végans eux sont déconseillés par les spécialistes, en particulier par l'INPES car il faut posséder une très bonne connaissance de ses besoins, de celui de ses proches si on choisit de leur faire partager cette alimentation (manger des aliments précis dans des proportions elles aussi précises, bref, il faut se soumettre à de nombreuses contraintes). De plus, il est attesté que ce type de consommation n'est pas adapté à l'organisme humain car il entraîne de nombreuses carences (en particulier en vitamine B12), d'où le recours à l'utilisation de gélules et de compléments synthétisant les molécules animales qui sont essentielles à l'organisme (et qui souvent, sont tirés directement d'animaux tués dans ce but ce qui est quelque peu paradoxal). Néanmoins un régime végétarien varié et proposant une importante quantité de nourriture peut être sain pour l'organisme.Nous avons de nombreux besoins. On parle souvent des sept éléments essentiels pour son bon fonctionnement. Il y en a bien d'autres tout aussi importants mais dans une moindre mesure. Bref, il lui faut avant tout de l'eau (beaucoup d'eau), de l'énergie mais aussi de quoi se construire et se développer. Pour cela nous devons chaque jours assimiler des lipides, des minéraux, des oligoéléments, des protéines et des acides aminés, des glucides et des vitamines.
Où trouve-t-on les nutriments nécessaires?
Notre alimentation est riche en bienfaits, il suffit de bien choisir ce que l'on veut trouver dans notre assiette. Certains nutriments comme les glucides se trouvent dans beaucoup de produits comestibles mais certains d'entre eux sont spécialisés et ne se trouvent que dans certains aliments comme la B12 ou la B6. Ainsi les glucides contenu dans une pomme (sucres lents) n'auront pas du tout la même valeur nutritionnelle que ceux contenus dans une confiserie (sucres rapides).
Les lipides se trouvent dans la viande, le poisson (les fameux oméga3), les œufs, les produits laitiers, la charcuterie, les olives, les huiles, les fruits secs et les avocats. Ils représentent 40 % de nos dépenses énergétiques. Tous n'ont pas la même valeur et il faut varié les aliments pour consommer tous les types de lipides essentiels à l'organismes. Ils sont essentiels car ils permettent à nos cellules de structurer leur membrane, aide à la cicatrisation des plaies, à l'assimilation d'autres nutriments comme certaines vitamines et à l'éléboration d'hormones (on suspect parfois les cas "d'hystèries" (quel bien vilain mot) d'être la cause d'un manque de lipides).
Les glucides représente 50 à 55% des nutriments que nous devons consommer pour ne pas manquer d'énergie. On les trouve dans l'huile, les matières grasses en général, le poisson, la viande, les produits sucrées, les crustacés, les œufs, les céréales, l'alcool, la pomme de terre, les légumineuses, les fruits secs, les fruits frais et les légumes.
Les oligoéléments dans un régime alimentaire traditionnel sont entièrement couverts. On les trouve dans les eaux minérales mais à différente teneur en fonction de la provenance de celles-ci. Le fer et le zinc par exemple se trouvent surtout dans la viande (en particulier de cheval et le boudin), l'iode sera dans les algues et les crustacés mais aussi le lait, le cuivre dans le chocolat, la viande, le poisson et les légumes secs.
Les minéraux (dont font partis certains ologoéléments) se trouvent un peu de partout, le calcium sera surtout contenu dans les petits poissons, les laitages et les fruits secs. Le chlorure se trouve dans le sel et les aliments salés, le magnésium dans les céréales complètes, les noix et les légumes verts. Le phosphore réside dans les viandes rouges et de volailles, le poisson, les produits laitiers ou à base de céréales complètes ou de fruits secs. Le sodium se trouvera dans les produits salés, les charcuteries et le fromage. Le chrome lui est dans les épices, le blé, le sucre non raffiné, les huiles végétales, les graisses, la viande , les cacahuètes et les levures. Le cobalt se trouve uniquement dans les produites laitiers, la viande et le poisson. Le fluorure se trouve dans le thé, le poisson et les fruits de mer. Le sélénium lui est dans les produits d'origine animale riche en protéines comme la viande ou les œufs, dans les fruits de mer, en faible quantité dans les céréales et les champignons.
Les précieuses vitamines sont nombreuses, faciles d'accès et contenues dans de nombreux aliments. Ainsi la vitamine A se trouve faiblement dans l'huile de poisson, le foie et les produits laitiers mais de manière plus importante dans le cresson, les épinards et les abricots secs. La vitamine B1 est dans les levures, les céréales, les œufs de poissons; la B2 dans les abats, les légumes, les fruits, les produits laitiers, les champignons et les fruits secs. La B3 réside dans la viande de volaille, le foie, les céréales et les cacahuètes; la B5 est dans tous les aliments mais encore plus dans les orties; la B6 elle se trouve dans la volaille, le foie, les bananes, les choux, les tomates, les épinards et les pommes de terre (bref, des végétaux hormis les choux et les épinards que l'Homme européen n'a connus que très tard et qu'il a mit longuement à cultiver pour les autres, preuve à mon sens qu'une alimentation non carnée n'était pas innée vu qu'elle ne couvrait pas les besoin en B6). La B8 est contenu dans le foie, les œufs, les levures, le saumon, et en petite quantité l'avocat et le porc (à savoir que pour couvrir nos besoins journaliers il faudrait manger entre 5 et 15 avocats ou entre 14 et 196 gr de levure). La B9 se trouve dans le foie et les plantes vertes fraîches. La B12 est essentielle à notre organisme en particulier pour les organes vitaux. Elle est produite en très faible quantité par notre intestin grêle comme chez la plupart des animaux, ce qui explique pourquoi les prédateurs mangent souvent les viscères en premier avec le foie. Bref, la B12 se trouveuniquement dans les animaux (bien qu'à tort on ait cru que la consoude en possédait). Exception faite, une algue microscopique japonaise, la spiruline, en posséderait mais dans des quantités infimes et non inassimilable, tout comme les végétaux fermentés mais si peu qu'il faudrait consommer plusieurs tonnes de ces aliments (au passage il est remarquable de voir les contres-vérités sur la page Wikipédia à ce sujet). Bref, le seul moyen de se fournir de la B12 sans mettre son corps en danger et sans avoir recour à des compléments alimentaires industriels est d'avoir une alimentation faisant appel à des produits animaux. Néanmoins il est possible via des bactéries génétiquement modifiées de produire de la B12. La magie des OGM nous permet de produire ainsi 35 tonnes par an (ce qui est très loin de suffir à couvrir les besoins de la population mondiale si du jour au lendemain elle changeait de mode de vie). Un régime végétalien ou végan est donc forcément composé d'OGM (ce qui est embêtant quand on pratique ce régime pour des motivations sanitaires ou anti-mondialiste/modeniste/consumériste). Cependant, tout est une question de choix, et jamais on ne pourra imputer à une personne faisant appel à ses compléments de ne pas avoir une comportement responsable vis-à-vis de son alimentation.
Les protéines qui contiennent les acides aminés sont ce qui permet à nos cellules de fonctionner. On les trouve dans la viande, le poisson, les produits laitiers, les œufs et en plus petite quantité dans le soja et le mélange de légumineuses et de céréales. Il néanmoins courant d'entendre dire qu'il y a plus de protéines dans les végétaux et qu'elles sont plus facilement assimilables, ce qui est faux. Le végétale le plus riche en protéine est le soja a raison de 16,5 gr de protéines pour 100 gr contre 30 à 70 gr de protéines pour 100 gr de viande.
À mon sens, le fait que certains aliments essentiels à notre organisme soient uniquement présents dans des animaux me conforte dans l'idée que biologiquement, nous ne sommes pas faits de sorte à nous nourrir uniquement de végétaux. Après ces constations, j'ajoute volontiers le foie à ma liste de courses quotidienne, c'est bel et bien un aliment précieux. Cependant, les progrès de l'industrie alimentaire et pharmaceutiques nous permet désormais de nous en passer.
"Je pense aussi que les Végétariens se font du mal, sans forcément qu’il le ressentent. D’ailleurs, cela vaut aussi pour les adeptes des morceaux de viandes (moi compris). La vérité sur ce sujet est que notre espèce est Omnivore, notre corps a besoin de végétaux ET de viandes (même si les végétaux font plus de bien que la viande). En tout cas ce qui ai sur, c’est qu’aujourd’hui nous mangeons trop de viande, et peut être pas assez de fruits et de légumes, comme nos ancêtres le faisait. Personnellement, je prévois prochainement de remettre en ordre ma santé alimentaire, mais ne manger que des légumes n’est pas une solution." Malika Loreï.
Les techniques modernes pour vivre sans :
Comme il est dit plus haut, il existe aujourd'hui de nombreuses techniques qui permettent de se passer de viande pour couvrir tout nos besoins mais à quel prix ? Les grands laboratoires se battent pour développer leurs gammes de produits pour végéta*iens et végans, usant du marketing et des techniques ordinairement réservées aux médicaments, on peut alors se demander s'ils n'ont pas pour but de créer une demande pour vendre leurs produits comme c'est le cas avec de nombreux médicaments et s'il ne risque pas d'avoir les mêmes scandales: vaccins contre le papillomavirus, médiator, Di-antalvic ou Cérivastine pour ne citer que quelques uns. À mon sens cela à déjà débuté avec l'utilisation d'OGM pour couvrir les besoins en en B12, la production à partir de produits chimiques de cobalt (procédé qui coute moins cher), la vente de compléments alimentaires fabriqués à partir d'animaux réformés (anciens animaux de laboratoire, de course ou de spectacle) et présentés comme synthétiques ou encore de nutriments présentés comme indispensables à l'organisme dans le cadre d'un régime sans viande alors que ce n'est absolument pas le cas.
Les contraintes à ce type de mode de vie :
Elles sont nombreuses: absence de plats adaptés dans la restauration ou le commerce, prix élevés des compléments alimentaires et des céréales exotiques mais nécessaires comme la quinoa, difficultés à trouver des produits tels qu'ils soient non issus de matières animales (ne parlons pas du prix) à cause de l'utilisation de dérivés à base d'animaux dans des produits végétalisés (gélatine, épaississants, colorants …), manque de temps pour préparer sa propre alimentation surtout quand on a toute une famille à nourrir en travaillant.
Des membres et associations du mouvement sans viande comme la PETA, Ingrid Newkirk (présidente de la Peta), Peter Singer, Bruce Friedrich appellent à la flexibilité dans ce mode de vie et à l'appliquer au cas par cas. Ainsi des sportifs de hauts niveaux comme l'homme le plus fort du monde ou le coureur Scott Jurek s'accommoderons très bien d'un régime sans viande (et même dans ces cas végan) aidés par de nombreux spécialistes (médecins, nutritionnistes et diététiciens personnels par exemple) mais ce n'est pas le cas de tout le monde.
Les dérives.
Il ne faut pas le nier, il existe des dérives dans la pratique de ces régimes alimentaires sans viande mais comme de partout. Certaines personnes vont encore plus loin que le régime végétarien, végétalien ou végan ce qui provoque souvent de graves problèmes de santé.
-Fruitarisme: on ne consomme que des fruits, des noix, des graines et des matières végétales qui peuvent être consommées sans que la plante ne soit blessée ou tuée (anthropomorphisme végétale). On peut manger des légumes ou des fruits mais pas de feuilles (épinards) ou de tubercules (ognons, ails, pommes de terre) car cela mettrait en péril la plante.
-Crudivorisme: on ne consomme que des fruits et légumes crus, des noix et de la pâte de noix, des germes de céréales et de légumineuse, des graines, des huiles végétales pressées à froid, des herbes et des jus frais. La nourriture ne doit jamais être chauffée à plus de 48°C et le moins longtemps possible.
Ces régimes alimentaires comme le régime végétarien, végétalien, végan ou uniquement carnés (et je ne parle pas de la malbouffe) s'ils sont mal maitrisés peuvent entrainer des carences dangereuses pour l'organisme. La plus connue et la plus courante est celle en vitamine B12. Une étude de 2004 sur des populations indiennes ayant un régime lacto-végétarien montrait que seulement 10% de personnes examinées n'étaient pas carencées et que 52% étaient en grave insuffisance de B12. L'approfondissement des recherches à montré que ces carences étaient dues non pas à des prédispositions génétiques mais au régime alimentaire. L'absence de cette vitamine entraîne chez l'enfant à naître des retards physiques et mentaux, elle peut entraîner chez les adultes des problèmes neurologiques (dépression ou démence), gastro-intestinaux et hématologiques qui chez les personnes âgées ou faibles peuvent être fatals. Les problèmes neurologiques au bout d'un an dans 45% des cas sont irréversibles. Ainsi le manque de B12 entraîne des démences, des dépressions, des confusions, des pertes de mémoire, des psychoses, des maladies vasculaires cérébrales, des dégénérescences de la moelle, des ataxies, des pertes du sens vibratoire, des spasticités, des démarches anormales, des paresthésie, des engourdissements, des faiblesses, des signes de Lhermitte, des incontinences urinaires et fécales, des glossites, des stomatites, de l'anorexie, des diarrhées, des constipations, des anémies, des leucopénies et la déclaration de la thrombocytopénie.
Enfin, on pourra citer les drames récents liés aux régimes alimentaires. Je garde bien à l'esprit que comme partout ce genre de faits n'est pas représentatif du végéta*isme et de tout ce qui s'y rapporte, que des décès alimentaires à causes de la mal bouffe ça existe aussi et largement plus, mais je ne crois pas pour autant qu'il faut les passer sous silence, sans non plus tomber dans l'excès comme ce fût le cas il y a peu avec cette décision de justice de retirer son enfant à un couple de végataliens. Elle a peut être été motivée par le décés d'enfants dont les parents maîtrisaient mal le régime alimentaire végéta*ien. Alors oui ,ce sont des cas extrêmes mais cela nous rappel que l'on ne peut pas faire n'importe quoi avec l'alimentation et que ce mode de vie doit faire l'objet d'un suivit médical, du moins pour les enfants.
Les personnes végétariennes, végétaliennes et végans vivent plus longtemps et sont beaucoup moins malades: Vrai et faux.
Il est courant de dire que les végétaliens vivent plus longtemps que ceux qui ont une alimentation carnée, ce qui est vrai mais la non consommation de viande est elle la véritable raison ? Non, du moins pour moi.
Des pratiques qui diminues les risques
Le végéta*isme et le véganisme sont des régimes alimentaires pratiqués pour des raisons spirituelles, philosophiques mais aussi sanitaires. Les personnes qui les pratiquent le font en partie dans l'optique de prendre soin de leur santé. De ce fait ils vont le plus souvent éviter les conduites à risques traditionnelles comme la consommation de cigarettes, de drogues et/ou d'alcool. Le facteur viande n'est donc pas le seul à prendre en compte pour expliquer cette longévité. De là on ne peut ni infirmer, ni affirmer que ce type d'alimentation permettaient de vivre plus longtemps. Néanmoins une étude américaine de l'université de Loma Linda en Californie montraient que les hommes végétariens vivaient 83,3 ans alors que les non végétariens vivaient 73,8 ans et que les femmes végétariennes vivaient 85,7 ans contre 79,6 ans pour celles qui ne l'étaient pas. John Robbins dans « The Food Revolution » met en lumière que le doyen de l'humanité entre 1994 et 1998 était végétarien, ce qui à mon sens n'est pas un argument vu qu'il fut le seul ... il oublie de dire que la doyenne de l'humanité qui vécue encore plus longtemps (la française Jeanne Calment : 122 ans) ne l'était pas.
Une réalité médicale
Ce que l'on ne peut pas nier c'est l'impacte bénéfique de ces comportements alimentaires sur de nombreuses maladies comme la goute, les pathologies cardio-vasculaires, certains cancers, l'asthme, arthrite, le diabète et l'obésité. Mais ils en entraînent d'autres comme une augmentation des cancers de l'anus et de l'intestin, des cas d'ostéoporoses (alors que pendant longtemps on les a présentés comme facteurs diminuant cette maladie) et des anémies par exemple.
Présenté comme remède contre les maladies cardiaques, on c'est rendu compte que le régime végétarien s'il n'est pas accompagné d'un traitement anti-stress et de nombreux médicaments n'avaient aucuns effets sur celles-ci.
Autre fait avéré, la surconsommation de viande aurait un rôle à jouer dans la maladie d'Alzheimer mais en aucun la consommation normale et quotidienne de produit animaux. Les recherches de l'American Society for nutritiontendent à montrer cette correspondance (en comparant les populations asiatiques qui mangent beaucoup de viande et celle qui n'en mangent pas) mais mettent aussi en lumière que le rôle de la méthionine (acide aminé) provenant de la viande est essentielle à l'organisme. Pour conclusion il est dit comme pour toute chose qu' il ne faut ni trop, ni pas assez consommer de carne mais trouver un équilibre
La qualité de la dentition en fonction du régime alimentaire.
Récemment, il a été mit en lumière que les végéta*iens et végans connaissaient beaucoup plus de problèmes de dentitions que ceux qui ne l'étaient pas : déchaussements de dents, caries, ulcères des régions buccales ... ce fait n'a été mit en lumière il y a peu et la recherche sur ce sujet continue. Un des facteurs pourrait être que ce sont des populations pauvres qui pratiquent le végétarisme (et cie) et qui n'ont pas accès aux soins dentaires. Un autre serait que certains éléments essentielles à la bonne santé dentaire ne se trouveraient que dans l'alimentation animale.
Ce type de régime alimentaire est l'unique solution contre la surproduction animale : Faux!
C'est un fait, depuis plus de 60 ans la consommation de viande a explosé, en particulier dans les pays industrialisés mais aussi émergents et il paraît évident que celle-ci doit être diminuée ne serait-ce que pour son impacte environnementale et les conditions de vie des animaux, mais de là à dire que sa non consommation est une obligation il y a un gouffre.Les dégâts de la surproduction animale
Une des motivations d'une alimentation sans viande est les dégâts provoqués par l'élevage. L'exemple emblématique de la France reste le porc breton qui avec l'industrialisation de sa production a en vingts ans, ravagé le sol et les nappes phréatiques rendant l'eau du robinet impropre à la consommation. Aux États Unis l'élevage bovins (on a en tête ces immenses étendues de terre battues aux sont parqués les animaux) produit 20% des émanations de méthane à l'échelle planétaire. Si celui-ci était diminué de 10%, l'agriculture céréalière qui est destinée à ce bétail pourrait nourrir 60 millions de personnes en plus (mais quand on sait que l'on produit de quoi nourrir 12,5 milliards d'être humains mais qu'un milliard subit quotidiennement la famine, je doute que les efforts menés contre la faim doivent en premier lieu être ciblés sur cette production mais plutôt sur la notion de gaspillage). Au Brésil, le soja cultivé pour l'alimentation animale (mais pas que, l'alimentation humaine à sa part de responsabilité) détruit les sols mais aussi 38% de la forêt amazonienne brésilienne ce qui entraîne la disparition d'environ 100 espèces par jours même si ce chiffre diminue peu à peu. La forêt de Madagascar à cause des plantations et de l'élevage aurait diminuée de 90%. Autre réalité, 78% des terres cultivables sont employés pour l'élevage. Ainsi on estime qu'un hectare consacré au bétail nourrit 2 à 6 personnes alors que dans la même proportion le maraichage et les plantation peuvent nourrir 8 à 30 personnes (mais ici on ne tient compte que de la quantité et non des divers besoins nutritionnels de l'organisme). De plus il faut 7 à 10 kg de protéines végétales pour produire 1 kg de protéines carnées (en élevage intensif), ce qui implique une production végétale accrue non destinée à la consommation humaine, une utilisation importante d'eau (asséchement des nappes phréatiques et rivières), d'engrais chimiques et une pollution augmentée car l'emploie d'engins agricoles et de transports est multiplié. De plus la production de protéines animales est gourmande en énergies fossiles, 8 fois plus que les protéines végétales. Cela réside essentiellement dans le transport et la production de la matière animale mais aussi au parcoure de la viande. Sur la même idée, l'énergie déployée pour fabriquer un kilo de viande serait 100 fois moindre dans la fabrication d'un kilo de céréales. Le journaliste Fabrice Nicolino déclarait que selon la FAO, l'agence agricole de l'ONU, l'élevage mondial dégagerait plus de pollution que tous les transports existants à hauteur de 18% sur l'ensemble des émanations produites par l'humain.
Autre méfait de la surproduction animal, l'emploie de terres et de cultures destinées à l'alimentation animale au détriment de celle des hommes. En 1985 l'Éthiopie est ravagée par une terrible famine mais les céréale produites par les pays continuent d'être commercialisées vers la Grande Bretagne (ici et à mon sens, les responsables sont avant tout les politiques qui ont refusé de nourrir la population avec cette production à cause des dessous de table qu'ils recevaient).
Ces faits alarmants et même catastrophiques pour notre bonne vieille Terre nous obligent à changer nos comportements, mais le végéta*isme n'est pas l'unique solution, du moins à mon sens. Une alternative parmi d'autres serait la dénatalisation (je ne peux pas m'empêcher de penser à toi, chère Poppy !).
De plus, les dégâts de la surproduction végétale dans un but alimentaire comme celle du quinoa entraîne elle aussi des désastres. Les populations locales se trouvent sans ressources car elles doivent vendre leurs biens alimentaires, les locaux tombent malades,
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Mardi 21 Septembre 2021 à 11:13
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Re..désolé..
Il manquait un volet, de la partie basse de cet article évoqué..
Un recherche de sens : la quête initiatique.
À la lecture du livre "Initiation, rites, sociétés secrètes" de Mircea Eliade je ne peux m'empêcher de faire un parallèle entre les paragraphes traitant de la perte de rituels et d'initiation dans nos sociétés occidentales et l'initiation au végétarisme, végétalisme et véganisme. C'est une vision purement personnelle que j'ai monté sur la lecture de cet ouvrage mais aussi d'autres (comme ceux de Jeanne Favret-Saada avec sa série de livres sur la Sorcellerie dans le Bocage).
Une recherche de sens :
On peut voir à mon sens dans l'adoption du régime végétarien une forme de recherche d'initiaion. Dans nos sociétés il n'exite plus de rituels ou de passages marquant l'arrivée des jeunes dans le monde adulte. Le BAC est l'un des rares faits de sociétés que l'on peut rattacher au rituel de passage à l'âge adulte mais il est constamment remit en question. Les études ne sont plus non plus le signe d'un passage à l'âge adulte, encore moins le mariage qui arrive de plus en plus tards, quand il arrive, et qui marquait l'installation du couple dans son propre chez lui (aujourd'hui on vit seul ou sans être marié). Les céromonies religieuses comme la profession de foi, la première et deuxième communions et la confirmation ne rythment plus les temps de vie des adolescents. L'arrivée de la majorité ne signifie plus rien car bien des jeunes restent, passé cet âge, chez leurs parents sans obtenir beaucoup plus d'autonomie. On se retrouve avec des générations en quête de sens, qui cherche un moyen de marquer fermement qu'elles passent d'un état à l'autre : du monde de l'enfance à celui des adultes.
Un initiation :
Dans le végétarisme en particulier celui qui survient à l'adolescence on peut voire tout un cheminement initiatique.
- Dans un premier temps l'inidividu subit un choc ou une prise de conscience (c'est l'élément déclencheur), souvent par une vidéo, une émission ou un livre sur la condition animale, on peut voir une forme de révélation, il devient initié, il sait et ne peut plus pratiquer son mode de vie comme avant.
- Dans un deuxième temps il va devoir subir des épreuves pour faire preuve de sa détermination. Cela se manifeste par un changement de ses habitudes qui souvent va à l'encontre de son entourage et du regard des autres, il va devoir passer cet obstacle et coûte que coûte mener son nouveau style de vie, il va aussi devoir résister à l'envie de manger à nouveau carné, renoncer à ses habitus (pratiques encrées profondément en lui au point de lui sembler naturelles et innées) et à certaines convictions. Il va devoir s'affanchir de certines normes de la société mais sans tomber dans l'extrême qui le conduirait à la marginalisation.
- Dans un troisième temps commence son initiation, il va se tourner vers les lectures et les documents spécialisés (documentaires, films, interviews de "spécilaistes" etc.), il va se pencher sur les cultures extra-occidentales et surtout il va rechercher des semblables pour échanger avec eux, en particulier sur les forums. Il va s'initier auprès de végétariens plus expérimentés qui souvent se présentent comme experts ou comme leaders d'opignon, soit par leur ancienneté sur les forums/réseaux par exemple , soit par l'anciennetée de leur pratique (10 à 15 ans ou plus) ou/et, soit par leur engagement pour la cause (sur le terrain ou dans les écrits). C'est avec ces éléments que l'inidivdu va pouvoir former peu à peu sa conception du végétarisme, donner des raisons et des buts à sa pratique.
- Dans un quatrième temps l'initié devient végétarien, il se définie même s'il n'en maîtrise pas tous les codes et toutes les pratiques. À son tour il peut diffuser le discours sur le végétarisme en reprenant les éléments et les grandes lignes du mouvements avec les exemples clés que l'on retrouve dans ce discours : danger de la viande pour l'organisme, non adaptabilité à ce régime part l'homme, souffrance animal etc.Cependant, ce mécanisme existe pour énormément de domaines ! Que ça soit par la découverte soudaine et dévorante pour une passion hors norme ou par la pratiques alros inconnuées et peu tolérées dans le girond familliale. Néanmoins, cette forme d 'éveille s'observe souvent, à mon humble avis, dans les communautés végé.
Que cela dit-il de l'individu ?
Cette recherche de sens et cette quête sont un moyen de se différencier, de se mettre au dessus (pas dans le sens péjoratif du terme mais dnas le sens "à l'écart") du reste de la population pour se démarquer, pour atteindre un statut d'éveil et donc d'initié. L'individu détient une vérité cachée qu'il a obtenu par son initiation, à lui de garder ensuite ce savoir ou de le diffuser.
Quelques chiffres.
Quelques chiffres pour completer l'article :
Aux Etats-Unis: Une enquête commandée par « The Vegetarian ressource Group » estime à 1% le nombre d'Américains véganes. On évoque 25 millions de végétariens.
En Grande-Bretagne: Une enquête en 2007 indiquait que 2% des britanniques étaient végans, une autre de « The Times » en 2005 en dénombrait 250 000 et en 2006 « The Independent » donnait le chiffre de 600 000.
Aux Pays-Bas: « The Netherlands Associations for Veganism » compte en son sein 16000 membres et estime à 0,1% leur nombre dans le pays.
En France: Environ un million de français se définiraient comme végétariens soit un peu plus de 2% (les sondages ne tiennent pas compte des moins de 18 ans).
En Allemagne: Environ 8 millions d'allemands seraient végétariens.
En Italie: On compterait 6 millions de végétariens.
En Israël: 8,6% des israélites seraient végétariens.
En Inde: 40% de la population (soit 450 à 500 millions d'habitants) serait végétarienne mais 88% des personnes qui la compose se définiraient comme tel mais ne le serait pas. De ce fait il y aurait que 60 000 000 "vrais" végéta*iens, ce qui est pas mal mais peu pour un pays qui dépasse désormais le milliard d'habitant (soit 4,85%).
"A quoi s'engage-t-on quand on décide de devenir végétarien aujourd'hui ? D'abord à un nouveau vocabulaire. Il faut s'habituer à diviser le monde en "Carniste" (mangeur de viande), "Omni" (omnivore) et "Veggie" (végétariens). Et à quelques difficultés de communication avec sa famille ou ses collègues. Il existe bien sûr un réseau dédié aux végétariens depuis un an, le réseau social Végédia, qui permet de s'informer des codes, du vocabulaire et aussi des bonnes adresses des adeptes du mode de vie sans viande. Depuis deux ans, une explosion de blogs "veggie" a lieu. A ceux très classiques qui publient des recettes s'ajoutent maintenant les blogs sur l'expérience végétarienne au quotidien. Sweetie Veggie raconte sa prise de conscience et sa décision d'abandonner toute viande, provoquée, comme pour beaucoup d'autres nouveaux végétariens, par des témoignages et vidéos sur les conditions d'élevage des animaux de boucherie. La vie de débutante "veggie" n'est pas toujours simple et les culpabilités autour de quatre oeufs montre aussi le visage presque religieux de l'initiation végétarienne pour certains." Louise Hoffman
En conclusion.
Mais pourquoi faire alors un article sur ce sujet ? Et énoncer certaines réflexions brutes de chez pomme ? Tout simplement pour dire que chacun est libre de mettre ce qu'il veut dans son assiette, du moment qu'il n'applique pas de démagogie en voyant celle de son voisin. La liberté s'applique à tous, aussi bien aux viandars qu'aux végétariens. Libre à chacun de prendre soin de sa santé par les moyens qui lui semble les meilleurs temps que ça ne nuie à personne. Dans tout les cas, la perception de ce mode de vie ne peut être tout blanc ou tout noir et à mon sens, il faut sortir du débat manichéen qui porte préjudice aux différents acteurs de cette réflexion.
Légitimer son comportement alimentaire par une réflexion personnelle, spirituelle et scientifique est de ce qu'il y a de plus normal cependant, tomber dans l'excès et la négation pour l'appuyer et la prôner est quelque chose qui m'horripile au plus haut point.
Pour terminer, cette citation qui reflète toute ma pensée:
" L’antispecisme, comme le veganisme, est une culture urbaine. Ce n’est pas un hasard si l’un comme l’autre sont venus des Etats-Unis et d’Angleterre, sous la double influence d’un zest de puritanisme protestant et de l’urbanisation precoce dont ces deux pays ont été les champions. La majorité des populations occidentales, depuis plusieurs generations, n’entretiennent plus avec la campagne qu’un rapport mythique, touristique et nostalgique et ont perdu tout contact réel avec l’origine de leur nourriture (carnée comme végétale). Ils ne savent ni comment ça pousse, ni comment ça vit, ni la forme que ça a, ni comment ça se tue. Alors que la vie rurale et paysanne melait intimement les humains et une partie du monde animal , le développement urbain a façonné des comportements apparemment opposés, mais qui se cotoient de maniere schizophrenique, vis-à-vis de l’animal. D’un coté, la production d’un bestiaire désincarné et idéalisé : l’univers Disney, les ours en peluche, les animaux de compagnie, toutes les formes anthropomorphiques de la cité idéale harmonieuse ; de l’autre, des zombis pour qui la viande c’est le hamburger et la croquette de poisson, sans rapport avec l’animal qui n’est plus que « de compagnie » et ne se mange pas. En fait, ces comportements sont le même produit de l’éloignement progressif du monde animal "Le lien pour cet article:
http://grimoirescarnets.canalblog.com/archives/2014/01/27/29059370.html
samedi 24 octobre 2015Je ne suis pas végétarienne.
Son blog..actuel..
http://grimoirescarnets.canalblog.com/
La Renarde des Alpes
Un petit blog pour partager ma passion de la Nature
Très bonne soirée, comme fin de soirée encore..Denis.
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Lundi 20 Septembre 2021 à 19:33
Et bien, on peut dire que ta réponse est étayée !
Je suis d' accord avec toi sur tout, et reste sur la pensée que nous avons des canines, qui ne sont pas là pour manger des fruits ou des légumes !
Le tout est d'être mesuré !
Je parlais aussi des inuits, et autres populations bien obligées de manger de la viande faute de pouvoir cultiver des légumes !
Ce soir je suis fatigué, je reviendrai demain sur ta réponse et tes liens
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Mardi 21 Septembre 2021 à 11:17
il est un aspect que je voulais aussi aborder, c' est celui de la façon dont les humains perçoivent les animaux !
Ainsi il y a des personnes qui critiquent le fait de manger ces pauvres moutons, mais ne voient rien à redire quand le prédateur est un loup ou un ours !
J' ai même tendance à plus apprécier les animaux détestés comme les araignées et les serpents !
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21Poumo-thoraxLundi 20 Septembre 2021 à 19:27Je vous ai gardé le meilleur pour la fin: le soja, le sacro-saint soja des vegetariens, est un perturbateur endocrinien reconnu de par la quantité assez conséquente d'oestrogènes qu'il contient...-
Lundi 20 Septembre 2021 à 19:35
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Poumo-thoraxLundi 20 Septembre 2021 à 21:15Le yaourt va mieux avec le piment, pour faire passer. Il ne faut pas oublier qu'à la base, le piment est un vermifuge assez efficace, et qu'aussi il entre souvent dans certaines cuisines nationales pour cacher le gout de la viande pas toujours de première fraicheur, au mexique, au magreb et au pakistan, entre autres.
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Un régime équilibré, c'est essentiel... C'est pourquoi, beaucoup d'êtres, qu'ils soient humains ou animaux, meurent avant l'âge, parce qu'ils ne consomment pas ce qui entretiendrait bien leur organisme... (Carences, faim, etc...)
Très bonne journée à toi
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Mardi 21 Septembre 2021 à 11:18
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Entre ceux qu ne mangent que de la viande (je les appelle les viandards) et ceux qui se contentent de légumes si ça leur plaît...), je ne choisis ni les uns ni les autres. Perso, depuis l'enfance je déteste la viande rouge (beurk !), en revanche j'apprécie les viandes bien cuites), donc je ne suis pas carnivore acharné, en revanche, je consomme beaucoup de légumes, donc je suis légumivore. Ah, j’oubliais, je suis également frugivore. En outre, j'ai un goût prononcé pour le fromage (surtout le chèvre). Quand j'ai la flemme de préparer, je me contente de fromage, de pain et de fruits. Mon toubib ne trouve rien à redire de mon régime alimentaire.
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Samedi 25 Septembre 2021 à 16:33
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24Françoise2Samedi 25 Septembre 2021 à 15:13Dans ce domaine il est impossible de mettre les individus d'accord ! Chacun réagit très surement en son âme et conscience
,perso depuis bien longtemps aucune viande rouge ne rentre à la maison (interdiction tu sais pourquoi) mais jamais je ne
critiquerai ceux qui en mangent ,ce qu'il faudrait c'est que tous les animaux destinés à la consommation soient respectés de la
naissance jusque dans l'assiette du consommateur et ce qui est loin d'être le cas vu les souffrances les cruautés qui leurs
sont infligées dans certains élevages et abattoirs ! Une grande consommation de viande rouge de viandes transformées sont
extrêmement néfastes pour la santé et les scientifiques sont aujourd'hui d'accord pour affirmer qu'une grande consommation
de viande rouge et transformée est responsable de cancer ! Le Gibier ( faisandé) chez les chasseurs avec beaucoup de
cancers du sang et de la moelle épinière !Ils se sont aperçu que dans le Fer contenu dans la viande rouge il y avait une
molécule appelée Hème qui est une des composantes de l'hémoglobine retrouvée dans le sang cette Hème pourrait
augmenter la quantité de N-Nitroso dans le corps et de plus le fer contenu dans cette Hème peut mener à la production de
produits toxiques pour notre organisme et ainsi augmenter le risque de cancer surtout celui du Col-Rectal ! les Cuissons
surtout celles au Barbecue produisent des substances cancérigènes appelées Hydrocarbures aromatique polycliques etc.. donc
plus elle est grillée ,carbonisée et plus elle fabrique des poisons pour l'organisme ! Tout être humain ne devrait pas manger +
de trois portions de 85gr par semaine la charcuterie (à bannir) pourtant c'est bon pour les papilles ! Les viandes rouges
contiennent des acides gras saturés qui augmente le taux de cholestérol d'où accumulation de plaque dans les artères =
maladie cardiaque! La source du problème vient en Grande Partie du Changement de régime des élevages ,dans le temps les
animaux étaient nourrit avec de l'herbe mais pour le fric ils les bourrent de grains , maïs etc pour les engraisser rapidement
et dont c'est ainsi que dans la viande cela augmente les acides gras saturés alors ce qui est Super c'est que en même temps
ils engraissent aussi les consommateurs de viande ! Les gens mangent de moins en moins de viande rouge à par les vieux (j'en
fait partie des vieux ) les jeunes la délaisse de plus en plus et aussi pour des questions de fric ! Il y a peu chez le Véto
j'attendais mon tour une bonne-femme est venue chercher des antibiotiques pour une Vache qui avait une mammite , une autre
deux de ses Agneaux toussaient , repartie avec des antibiotiques ,ensuite un mec , une de ses vaches boitait allez !des
médicaments alors Bon appétit , pas étonnant que de plus en plus nous devenons résistants face aux antibiotiques !
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Samedi 25 Septembre 2021 à 16:54
Comme quoi là aussi, on voit que c' est le juste milieu et la raison qui devraient l' emporter, n' abuser de rien, et respecter les animaux qu'on élève pour leur viande.
Il ne faut pas oublier aussi que les élevages pour le lait, vaches, chèvres et brebis entraînent la naissance de mâles qu'il faut bien abattre, puisqu'inutiles !
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Je ne pensais pas que la tortue géante pouvait être capable de cela
Ces végétaliens et tout le tastsoin m'énervent à un point
Je préfère ne pas en parler
Perso je ne vais pas diriger leurs assiettes , qu'ils nous foutent la paix
@ demain Pierre
Bises
Je savais que pratiquement tous les omnivores appréciaient aussi la viande, comme les ours par exemple, mais la tortue m' a surpris, en principe, celle des Seychelles est herbivore !
et tu as raison, qu'ils nous foutent la paix