• et nos politiques ont aussi choisi de préférer les arabes saoudiens sunnites, plutôt que les perses  de Téhéran chiites !

    C' est curieux comme Bachar el Assad a été accusé de génocide, alors que personne ne critique  l' Arabie saoudite responsable de milliers de morts au Yémen !

     En attendant, la Russie, amie des chinois,  reste au contact de bachar el assad, et s' allie aux iraniens et aux turcs.

     On dirait que la balance penche du mauvais côté pour nous !

    Nos politiques ont choisi  de rejeter la Russie


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  • alors, notre généreux gouvernement commence la distribution !

     On commence par  8 millions  d' euros à Ramallah, pour payer des salaires, même si on sait  que certains sont versés à des terroristes !

    Et je constate que comme Grassouillet,  notre illusionniste s' envole pour les pays  africains, avec surement de jolis cadeaux dans sa hotte !

     Quel dommage que pour les français ce soit le père fouettard qu' on nous envoie !

    C' est bientôt Noël


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  • à l' invitation du diocèse, et avec la bénédiction de l' archevêque de Marseille

    mgr Pontier, des migrants occupent l' église Saint Ferréol, et  bien entendu les dégradations ont suivi !

    On aura remarqué qu' aucune synagogue, ni aucun temple   ne se propose, encore  moins  une mosquée, dont Marseille ne manque pas !

    Cet archevêque, qui bien entendu ne prendra pas de migrant chez  lui aurait dû lire cette  parodie de  La Fontaine !

     

    Le chien et les chacals

    Du coquin que l'on choie, il faut craindre les tours
    Et ne point espérer de caresse en retour.
    Pour l'avoir ignoré, maints nigauds en pâtirent.
    C'est ce dont je désire, lecteur, t'entretenir.

    Après dix ans et plus d'homériques batailles,
    De méchants pugilats, d'incessantes chamailles,
    Un chien estoit bien aise d'avoir signé la paix
    Avecque son voisin, chacal fort éclopé
    A l'allure fuyante, que l'on montroit du doigt,
    Qui n'avoit plus qu'un oeil, chassieux de surcroît,
    Et dont l'odeur, partout, de loin le précédoit.

    Voulant sceller l'événement
    Et le célébrer dignement,
    Le chien se donna grande peine
    Pour se montrer doux et amène.
    Il pria le galeux chez lui,
    Le fit entrer, referma l'huis,
    L'assit dans un moelleux velours
    Et lui tint ce pieux discours :
    « Or donc, Seigneur Chacal, vous êtes ici chez vous !
    Profitez, dégustez, sachez combien je voue
    D'amour à la concorde nouvelle entre nous !
    Hélas, que j'ai de torts envers vous et les vôtres,
    Et comme je voudrois que le passé fût autre !
    Reprenez de ce rôt, goûtez à tous les mets,
    Ne laissez un iota de ce que vous aimez ! »

    L'interpellé eut très à cour
    D'obéir à tant de candeur.
    La gueule entière à son affaire,
    Il fit de chaque plat désert
    Cependant que son hôte affable
    Se bornoit à garnir la table.
    Puis, tout d’humilité et la mine contrite,
    En parfait comédien, en fieffée chattemite,
    Il dit : « Mais, j'y songe, mon cher,
    Nous voici faisant bonne chère
    Quand je sais là, dehors, ma pauvrette famille :
    Mes épouses, mes fils, mes neveux et mes filles,
    Mes oncles et mes tantes que ronge la disette,
    Toute ma parentèle tant nue que maigrelette.
    Allons-nous les laisser jeûner jusqu'au matin ? »

    « Certes non ! » répliqua, prodigue, le mâtin,
    Qui se leva, ouvrit, et devant qui passèrent
    Quarante et un chacals parmi les moins sincères.
    Sans tarder cliquetèrent les prestes mandibules
    Des grands et des menus, même des minuscules.
    Ils avoient tant de crocs, de rage et d'appétit,
    Ils mangèrent si bien que petit à petit
    Les vivres s'étrécirent comme peau de chagrin
    Jusqu'à ce qu'à la fin il n'en restât plus rien.

    Ce que voyant, l'ingrat bondit :
    « Ah ça, compère, je vous prédis
    Que si point ne nous nourrissez
    Et tout affamés nous laissez
    Tandis que vous allez repu,
    La trêve entre nous est rompue ! »

    Ayant alors, quoi qu'il eût dit,
    Retrouvé forces et furie,
    Il se jeta sur son mécène,
    Et en une attaque soudaine il lui récura la toison,
    Aidé de toute sa maison.
    Puis, le voyant à demi mort,
    De chez lui il le bouta hors.
    Et l'infortuné crie encore
    « La peste soit de mon cœur d'or ! »

    Retenez la leçon, peuples trop accueillants :
    À la gent famélique, point ne devez promettre.
    Ces êtres arriérés, assassins et pillards
    Marchent en rangs serrés sous le vert étendard.
    Vous en invitez un, l'emplissez d'ortolans,
    Et c'est jusqu'à vos clefs qu'il vous faut lui remettre.

    à l' invitation du diocèse, et avec la bénédiction de l' archevêque de Marseille

     

     


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  • et ce pour une manifestation contre l' esclavagisme en Libye, perpétré par des non blancs !

    Une fois de plus on ne peut que constater que des noirs et des musulmans détestent les blancs tout en profitant de leur largesse !

    Et comme par hasard, pas un seul Crs en vue, malgré le plan vigie pirate !

     Par contre  on interdit  une manifestation des identitaires !

    à Nantes, le message fut clair,  " sales putes de blancs "


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  • Plus de  200 euros un jean troué, c' est dingue non ?

    un clitoris géant exposé sur le campus universitaire de Poitiers, mais bon, le sculpteur n' a jamais dû en voir un de près !

    Pour  les films  français, le porno, la violence oui, la cigarette non !

     et  une folie de plus  des théoriciens du genre, ils veulent la  journée  du matrimoine !

     Je doute que beaucoup de femmes aient participé à la construction des châteaux et cathédrales !

    de plus en plus fou le monde !

    de plus en plus fou le monde !

     


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